Le Dessous des Cartes


Film d'Horreur? Ou Cruelle Réalité?!


C’est arrivé près de chez vous. Une tragédie impitoyable et sulfureuse. Un film à la trame kafkaïenne qui mériterait sans aucun doute le trophée hors compétition du meilleur film d’horreur de tous les temps…
Si ce n’était une histoire vraie, la cruelle réalité vécue, depuis plus de dix ans, par une maman et son enfant, tous deux terrorisés et démunis face au harcèlement incessant d’un banc de requins aux mâchoires acérées.

L’auteur et protagoniste de cette « fiction-réalité » est un personnage hitchcockien frôlant la cinquantaine, pervers narcissique manipulateur destructeur dans toute son horreur et sa duplicité, Vincent Georis (« V.G. »), qui n’est autre que le père de l’enfant Michaël Solal Armand (« Michaël »), âgé de 13 ans.

Dans des rôles secondaires, on retrouve des Ministres belges et, tout particulièrement, Le Secrétaire d’Etat à l’Environnement, Olivier Deleuze, et le Ministre Wallon des Transports, José Daras.
L’homme de main, véritable clé de voûte de ce château de cartes bâtit par le Grand Architecte de ce drame, est son grand frère, Bernard Georis, ancien matelot désormais attelé au Pouvoir, un pied dans l’Exécutif et l’autre dans le Judiciaire, avec un cumul de fonctions, opportun et stratégique dans la petite démocratie belge: Conseiller aux Affaires Familiales du Vice-ministre de la Justice et Secrétaire d’Etat, Melchior Wathelet, en même temps que Directeur des Tutelles au service des Mineurs du Ministère de la Justice.

Ce Joker en main, VG obtient sans plus de difficultés la collaboration dévouée du Centre le Grès, chargé des expertises psycho-sociales en matière de Tutelles et de garde de Mineurs dans la capitale belge.
Le générique ne s’arrête malheureusement pas là. Bien d’autres intervenants seront manipulés, enrôlés ou intimidés par le tandem afin de créer l’illusion de « politiquement correct » et asseoir le règne du mensonge. Chacun, selon ses fonctions, aura un rôle dans ce scenario machiavélique destiné à propulser son auteur sous les projecteurs du grand écran politico-médiatique et parachever l’oeuvre de destruction des deux victimes, témoins gênants de sa monstruosité.
Acteur hors pair, doté d’une intelligence stratégique mais trop largement antipathique, V.G. se cherche un masque à la mode … il passe chez les Ecolos, alors en hausse, et c’est ainsi que le père abusif deviendra le « papa éploré » de service face à une mère fantasmagorique, juive de surcroît, qu’il revêt d’un habit non moins délirant d’une adepte de secte ultra-radicalement extrémiste. 

Ayant dorénavant les moyens de réécrire l’histoire avec, pour scribes, quelques journalistes déjà connus pour leur carence éthique, le « méchant » va désormais se faire passer pour le « Gentil » et faire d’une pierre deux coups : masquer ce qu’il est et ce qu’il fait, en le projetant sur sa « victime » - la maman et ex-femme dont il refusait de se séparer
– et la faire passer pour la « Méchante », fanatique, manipulatrice et calomnieuse.

Et c’est ainsi que le mensonge devint réalité, une réalité projetée en plan inversé sur le Grand Ecran judiciaire.
Rien ni personne ne viendra plus contrarier le rêve éveillé de V.G. Si ce n’est la réalité des faits... 

Car, au regard des faits, la mère apparaît être une femme aimante, honnête, altruiste et pleine d’abnégation, toujours cohérente et respectueuse des lois, quels qu’en soient le prix et les circonstances, même les plus hostiles et douloureux, y compris lorsqu’elle fut confrontée au plus fort et retors des succès volés par son ex-mari et ses complices. L’alibi de fanatisme religieux que lui prêtent ses détracteurs ne tient pas non plus la route.
Seule face aux attaques incessantes de ses détracteurs, vulnérable et exposée à la violence institutionnelle qui prend brutalement le relais de la violence conjugale, la mère se retrouve constamment harcelée, calomniée, injuriée et condamnée, tandis que les droits de la défense et ses preuves sont systématiquement ignorés.
Mais même en terrain miné et dominé par la Loi du Plus Fort, même si elle doit se battre contre des Titans, ce « poids plume » de quelque 40 kilos continue, avec tout le poids de la Vérité et de l’Amour de son côté, à défendre l’intégrité physique et psychique de son enfant, à réclamer que Justice soit rendue et que soient restitués à Michaël la protection et les droits volés, même s’il lui faut renoncer à son propre avenir et à sa liberté.

Car la vie d’une maman que vaut-elle si la vie de son enfant est anéantie ?

Le seul et unique pêché commis par cette mère semble être d’avoir mis fin à l’enfer quotidien que V.G. leur infligeait, à leur enfant et elle, et dénoncé ses agissements violents et pervers qu’il s’efforce d’enterrer, à tout prix et par tous les moyens.

Les poursuites judiciaires, incessantes et multiples, qui lui permettent de maintenir ses victimes sous emprise, dix ans après leur séparation, montrent en revanche que les actes de V.G. se situent toujours à l’extrême opposée de ses dires et qu’il projette constamment ce qu’il est et ce qu’il fait sur Ronite. Il se révèle quant à lui être un personnage froid, manipulateur et impitoyable, qui tend à se placer au-dessus des lois, lesquelles semblent n’avoir de valeur que pour le servir. Idem pour son enfant qu’il instrumentalise. En effet, de tout ce laborieux et épuisant procès, subit par l’enfant et sa mère, depuis la Belgique, en passant par la France et, aujourd’hui, Israël, il émerge de plus en plus clairement une volonté implacable de V.G. de détruire celle qui « osa » le quitter et
dénoncer sa perversité, même s’il lui faut utiliser leur enfant comme arme et le détruire lui aussi, la fin justifiant les moyens. 

Les exigences pécuniaires inlassables de ce personnage, par ailleurs caractérisé par son avarice, viennent encore démontrer, s’il en est, que sa volonté n’est pas d’élever son enfant, mais bel et bien de l’avoir sous contrôle et d’assurer que son ex-femme n’aura pas de vie après lui, comme il le lui a promis.

Son déni d’autrui est à la mesure du narcissisme que V.G. révèle aussi devant les Tribunaux, où il harcèle son enfant en le forçant pendant une décennie à participer à toutes sortes d’expertises et procédures judiciaires dans le seul but de parvenir à l’arracher à son environnement habituel et à sa maman avec laquelle il a toujours vécu et s’épanouit envers et contre tout. Ainsi, V.G. n’a eu de cesse de substituer ses propres intérêts et sa volonté à ceux de son enfant, qu’il continue de considérer comme un bien exploitable, plutôt qu’une personne, même lorsque celui-ci, après avoir relaté aux Juge, experts, journalistes, ses expériences traumatiques avec son père, supplie :

« Je veux rester avec ma maman en Israël !».

VG se montre impitoyable, totalement hermétique à la souffrance de son enfant, dont les témoignages bouleversants et le désespoir le laissent de marbre. Y compris lorsqu’au plus fort de sa détresse Michaël Solal crie aux juges, experts, puis journalistes et jette à la face de son père :

« Je préfère mourir que de vivre chez lui en Belgique !»



Dès lors, c’est à contre coeur que les amis et proches de Ronite et Michaël, déchirés par leur détresse et par l’aveuglement des pouvoirs judiciaires, ont décidé de sortir du silence et de contre-attaquer face aux campagnes de désinformation et de manipulation de V.G., pour faire entendre, dans le monde entier, le cri d’une mère et de son enfant, persécutés, mis en danger et saturés de souffrance et d’humiliations. Leur volonté à tous deux est simplement de vivre ensemble dans la paix et la sécurité.

A SUIVRE...

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