Le Combat d'une Maman
http://savemichaelsolal.blogspot.co.il est dédié au combat d'une
maman pour son enfant. Plus de dix années de combat afin d'obtenir de la
Justice qu'elle protège un enfant contre le pire de l'humanité : violence,
pédophilie, népotisme, manipulation destructrice.
L'objectif est que Justice soit
rendue
Nos armes: Vérité, Amour, Foi, Patience
Notre Force : Une
indomptable volonté
Les obstacles: Le mal ne se
repose jamais... Jusqu'à ce qu'il passe son chemin ou qu'il soit défait par la
puissance de la vérité et de l'amour
"Maman ! Le Bien finit
toujours par gagner. Maman ! On va gagner », l’enfant Solal Michael
Georis, alors âgé de 9 ans
SaveMichaelSolal vous dévoile,
jour après jour, les faits, devenus occultes, qui ont transformé un divorce
plutôt banal dans l’Europe contemporaine en une affaire criminelle d’envergure
internationale, dramatique, complexifiée à l’embarras et sans issue… hormis
l’emprisonnement de la mère et le triomphe du père, jusqu’à ce que mort
s’ensuive.
ET L’ENFANT DANS TOUT CA?
« Solal, mon enfant, est la
seule raison d’être dans ce combat que je mène depuis plus de dix ans pour que
Justice soit faite et que sa protection lui soit octroyée, puisque nous ne
sommes pas éternels. Si ce n’était pour lui, pour lui assurer un cadre
protecteur pérenne contre la violence et la perversité dont il a déjà tant
souffert, je serais une femme respectable et respectée, prospère,
professionnelle reconnue, remariée et maman plusieurs fois. » Ronite
Bitton, la maman de Solal
« Un bref retour en arrière
me parait essentiel pour comprendre pourquoi j’ai dû renoncer à tout cela et me
résigner à perdre tout le reste, afin d’endurer plus de dix ans de calomnies et
de ruine dans tous les sens du terme, jusqu’à la disgrâce et la prison,
devenues à moyen voire à long terme, mon seul horizon.
La cohabitation avec le père de
Solal, entamée en 1998, a été une épreuve cauchemardesque. Une fois devenue «
sienne » par la grossesse et les liens du mariage, l’élu de mon cœur, un
juriste belge d’apparence affable et politiquement correct, s’est brusquement
révélé, dans le huis clos familial, être violent, despotique, narcissique et pervers, passant
ses nuits à boire de l’alcool, fumer des joints et surfer sur des sites
internet de pédophilie et de violence extrême contre des femmes, lorsqu’il ne
piquait pas des crises de démence que rien ne semblait pouvoir apaiser sinon la
certitude que nous étions, notre enfant et moi, sous le règne de sa terreur,
comme en ont témoigné nos voisins et de nombreuses tierces personnes, ainsi que
mes plaintes à ce sujet.
En 2002, malgré les menaces et
manipulations du père, alors que l’état de Solal s’était brutalement dégradé,
que j’étais moi-même en miettes et vivais dans l’appréhension des prochaines
crises voire d’un « dérapage » fatal, j’ai trouvé la force d’entamer la
procédure de divorce et ai demandé protection à la justice pour mon enfant et
moi contre cette violence, ce que la Justice nous a accordé : un ordre
d’éviction du domicile conjugal a été prononcé contre Vincent Georis et
rapidement exécuté, notre enfant a été
placé sous ma garde exclusive et une expertise psychiatrique a été ordonnée.
Par la suite, la Justice belge a dû confirmer à trois reprises ces
dispositions, face aux tentatives incessantes de Vincent Georis d’obtenir la
garde exclusive - ou alternée, en fonction de l’interlocuteur, avec force de
stratagèmes et sous divers prétextes jamais étayés. A titre d’exemple : s’abstenir d’aller chercher l’enfant à
l’école dans le cadre de son droit de visite, refuser de le faire auprès du
Directeur de l’Ecole, lui demander de le confier à la mère puis tenter de
déposer plainte contre elle pour enlèvement (2003). Ou encore arguer devant la
Cour que la mère est atteinte d’une « névrose paranoïde délirante » et d’une
maladie incurable, diagnostiquées par lui-même, une dangerosité encore accrue
par le fait qu’elle ne soit ni Belge ni Catholique mais Française et Juive de
surcroît, avec en sus le fait - souligné dans ses conclusions à la Cour (2003)
- que « la religion juive se transmet par la mère », telle une tare familiale
ou une maladie contagieuse.
SOLAL GEORIS: L'ENFANT SACRIFIE,
L'OUBLIE DE LA JUSTICE
A ce jour Solal qui n'a fait que crier son
désespoir à l'idée de quitter sa maman et d'aller vivre chez son père, est
introuvable, privé de son environnement familier et peut être de ses deux
parents, en tout cas de sa maman qu’il n’avait jamais quittée depuis sa
naissance.
Solal Georis 14 ans, au centre d'une bataille
judiciaire depuis plus de 10 ans, est aujourd'hui l'oublié de la justice. Né
d'un papa belge et d'une maman française, il vivait en Israël depuis 3
ans. A l'âge de dix ans, après avoir
menacé les juges et experts de se suicider, après s'être activement engagé et
battu pour que sa volonté soit respectée, Solal a été contraint à la
déportation vers la Belgique. C’était en juillet 2008. Depuis lors, sa maman
est sans nouvelles de lui.
Son père qui, au moment de la
disparition de l’enfant était en Israël où il circulait en voiture diplomatique
sans aucun contrôle aux frontières, accuse Ronite de cacher Solal et réclame
contre elle une peine pouvant aller jusqu’à 20 ans de prison. Mais malgré le
déploiement sans précédent de moyens pour le retrouver en Israël (police,
services secrets intérieur, mossad…), il reste introuvable sur ce minuscule
territoire quadrillé par les forces de l’ordre…
Depuis lors, Ronite a été
incarcérée à la demande de Georis pendant deux mois, puis placée en résidence surveillée
24h sur 24 pendant deux ans puis en détention arbitraire en 2012, avec une
interdiction totale de sortir du territoire… et de retrouver la trace de son
enfant.
Improbable, incompréhensible, l’affaire Solal Georis nous apprend que la
justice est faite pour les plus puissants, laissant de côté un enfant qu’elle
transforme en objet mobilier et exploitable à toutes fins utiles. Comme dans
beaucoup de batailles juridiques, ce n'est pas la justice qui gagne, mais celui
qui a les moyens de la corrompre et qui bénéficie de protections haut placées.
La raison d’Etat invoquée dans cette affaire de divorce, en Belgique d’où le
Palais Royal s’est fendu de quelques coups de fil à l’étranger, puis en Israël,
en dit long sur les dessous des cartes.
A Suivre…